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News Dessins

3 janvier 2013

La vie de Mahomet - 1ère partie : Les débuts d'un prophète - par Charb et Zineb

couv_mahomet_2_ Description rapide de Charb :

À qui appartient Mahomet ? À tout le monde. Il est le prophète des musulmans, certes, mais pour d'autres il est un personnage historique ou bien une légende. On peut caricaturer Mahomet comme on caricature Jésus, Napoléon ou Zorro. Lorsqu’on caricature Mahomet dans Charlie, on caricature surtout l’idée que s’en font les extrémistes, ou bien on se sert de Mahomet pour l’opposer aux musulmans radicaux. Dans tous les cas, c’est la vision des fous de Dieu qui détermine notre façon d’envisager Mahomet. Il faut dire la vérité : on ne connaît pas Mahomet. En Occident, tout le monde peut citer des épisodes de la vie de Jésus, mais qui peut citer un épisode de la vie de Mahomet ? Est-ce normal dans un pays comme la France, où l’islam est présenté comme la deuxième religion ? Nous avons mis en images la vie de Mahomet telle que l’ont racontée les chroniqueurs musulmans. Sans aucun humour ajouté. Si la forme apparaîtra à certains blasphématoire, le fond est parfaitement halal…
À vous de voir.

Disponible ici

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2 janvier 2013

Tardi refuse la Légion d'honneur - par l'AFP - sur liberation.fr - 2 janvier 2013

Tardi refuse la Légion d'honneur

tardi_refus_legion_d_honneurjacques_tardi_le_14_mai_2009

Le dessinateur a dit sa « stupéfaction » qu'on lui ait attribué cette décoration et justifie son refus par sa volonté de « rester un homme libre ».

Le célèbre auteur de bandes dessinées Jacques Tardi « refuse avec la plus grande fermeté » la Légion d’honneur qui lui a été attribuée le 1er janvier, voulant « rester un homme libre et ne pas être pris en otage par quelque pouvoir que ce soit », a-t-il déclaré ce mercredi.

« J’ai appris avec stupéfaction par les médias, au soir du 1er janvier, que l’on venait de m’attribuer d’autorité et sans m’en avoir informé au préalable la Légion d’honneur ! » souligne l’auteur de 66 ans qui vient de publier Moi René Tardi, prisonnier de guerre, Stalag II B (Casterman), une œuvre très personnelle basée sur le témoignage de son père, prisonnier en Allemagne. « Etant farouchement attaché à ma liberté de pensée et de création, je ne veux rien recevoir, ni du pouvoir actuel ni d’aucun autre pouvoir politique quel qu’il soit. C’est donc avec la plus grande fermeté que je refuse cette médaille », déclare Tardi dans un communiqué séparé.

« Je n’ai cessé de brocarder les institutions. Le jour où l’on reconnaîtra les prisonniers de guerre, les fusillés pour l’exemple, ce sera peut-être autre chose », ajoute Jacques Tardi, qui s’est aussi beaucoup penché sur la Grande Guerre (Putain de guerre !, C'était la guerre des tranchées...). « Je ne suis pas intéressé, je ne demande rien et je n’ai jamais rien demandé. On n’est pas forcément content d'être reconnu par des gens qu’on n’estime pas », conclut l’auteur d’Adèle Blanc-Sec.

(AFP)

Article extait de liberation.fr ici

28 avril 2012

Ali Ferzat... - par Marie Kostrz - sur Rue89 - 24 avril 2012

Ali Ferzat, le caricaturiste syrien aux mains brisées, plus engagé que jamais

ali_ferzatali_ferzat

Naguère brisées, les mains du caricaturiste syrien Ali Ferzat peuvent aujourd’hui en serrer d’autres. Elles peuvent de nouveau porter un verre à ses lèvres, soulever un paquet. Elles peuvent aussi et surtout dessiner. Alors qu’ils le rouaient de coups en août dernier, à Damas, ses agresseurs avaient juré qu’ils les lui broieraient. Pour qu’il ne puisse plus croquer « des dessins qui déshonorent » les dirigeants d’un régime pourtant contesté depuis plusieurs mois par une révolte populaire. Ils n’auront pas atteint leur but. Huit mois plus tard, la pointe du feutre noir qu’Ali Ferzat a constamment dans sa poche donne toujours vie à des croquis piquants contre Bachar el-Assad et ses alliés. L’image d’un homme au visage tuméfié, à l’œil gauche abîmé et aux mains bandées, qui avait fait le tour de la Toile, est bien loin. De passage en France, Ali Ferzat est méconnaissable : sa barbe grisonnante finement taillée est fendue d’un large sourire, son œil bleu opalin se fait tantôt grave, tantôt malicieux. La rééducation aura eu raison des coups et des brûlures.

Au début, il ne dessine qu’un uniforme

A présent installé au Koweit où il se fait soigner, Ali Ferzat n’a pas laissé la révolution derrière lui. Il en parle tout de go et se veut résolument optimiste : « Les médias étrangers sont négatifs, ils parlent beaucoup des limites du soulèvement, de ses dérives. Mais après un an et un mois, le peuple syrien est toujours dans la rue. Le régime fait tout pour qu’une guerre civile éclate mais il reste uni contre Bachar el-Assad ». Le peu de réaction des gouvernements étrangers l’accable, et les rend complices, selon lui, de la mort de chaque Syrien, tué par les balles ou les bombes du régime. Lui n’a pas sa langue dans la poche. Quelques mois avant la révolution, l’artiste avait décidé de repousser les limites de la censure en représentant les caciques du régime sous leurs propres traits : « Avant, j’illustrais le Président par un homme en uniforme par exemple. Il ne lui ressemblait jamais physiquement et jamais je n’accompagnais le dessin par un texte. Puisque tous les pays arabes connaissent les mêmes travers – dictature, pauvreté, répression –, il était possible de ruser pour passer le contrôle des autorités. Même si la population, elle, comprenait qui était visé ! ».

Des caricatures brandies en manifs

En décembre 2010, la révolution tunisienne a encouragé l’artiste à se passer de cette astuce, qui lui a permis pendant des décennies de critiquer un pouvoir qui ne tolère pas la fronde. A cette époque, les visites de son site internet, où il poste ses caricatures, augmentent « jusqu’à 14 000 par jour ». Ali Ferzat sent que ses concitoyens sont prêts à renverser leur dictateur : « Dans les cafés, les taxis, les gens osaient parler de politique alors qu’avant c’était inimaginable ». Le dessinateur commence alors à représenter Bachar el-Assad sous ses propres traits. Il donne au président syrien un air penaud, le représente recroquevillé sur l’accoudoir d’un fauteuil éventré dont il a été expulsé par les ressorts. Il dénonce l’hypocrisie d’un chef d’Etat qui déclare aimer et respecter un peuple qu’il maltraite. Ses dessins, partagés sur Facebook et brandis dans les manifestations une fois la révolution commencée, sont diffusés dans le monde entier après l’attaque dont il est victime à Damas le 25 août 2011.

« J’allais chez Assad, il venait chez moi »

Quelques jours avant d’être passé à tabac par des hommes cagoulés, il a publié une caricature de Bachar el-Assad faisant du stop devant une voiture conduite par Kadhafi. Il est convaincu que son attaque a été préparée par le président lui-même. L’artiste a connu personnellement le dictateur syrien. Les deux hommes se sont rencontrés pour la première fois en 1996, lorsque Bachar el-Assad, alors fils du président Hafez el-Assad, avait surgi à une de ses expositions : « Il a été étonné que je critique en public le régime. Il m’a donné son numéro de téléphone. On s’est revus à plusieurs reprises, j’allais chez lui, il venait chez moi. On parlait surtout d’art ». Lorsqu’Hafez el-Assad décède en 2000, Bachar, lui succède. Ali Ferzat lui conseille alors d’accorder une plus grande liberté aux médias. A cette époque, la Syrie connaît le « printemps de Damas », une très courte période d’ouverture démocratique.

Harcèlement, menaces et convocations

En 2001, Ali Ferzat est autorisé à créer un journal satirique, Al-Domari. Le premier média indépendant depuis le coup d’état du Baas en 1963. Ses espoirs seront vite déçus, la rupture avec Bachar el-Assad rapidement consommée : « Tant qu’il n’était pas au pouvoir, il pouvait envisager la critique. Lorsqu’il a pris la tête du pays, il n’a pas supporté d’être à son tour remis en cause. Il s’est retourné contre tous les intellectuels qui l’avaient conseillé auparavant ». Dès le premier numéro d’Al-Domari, Ali Ferzat rencontre en effet des difficultés. La publication d’un texte qui souligne le paradoxe d’un régime qui dit vouloir aider son peuple tout en se complaisant dans l’opulence n’est pas du goût des autorités. Le caricaturiste sourit : « Bien sûr, on a cru au printemps de Damas, mais au final Bachar el-Assad se prenait lui aussi pour un Dieu, comme Staline ! ». Harcèlement téléphonique, menaces, convocations chez les « moukhabarats » (services de sécurité), manifestations hostiles devant les locaux du journal... pendant deux ans, Ali Ferzat n’a pas eu une minute de répit : « Le régime faisait pression pour que je prenne la décision de fermer le journal, mais je n’ai pas cédé, c’est eux en 2003 qui ont ordonné l’arrêt de la publication ».

« Ali Ferzat n’a pas attendu la révolution »

Cette détermination a fait d’Ali Ferzat une personne très respectée des opposants syriens. L’un d’eux explique : « Il n’a pas attendu la révolution pour critiquer le régime, il est resté à Damas aussi longtemps que possible et a souffert de son engagement ». Plantu, caricaturiste au Monde et président de l’association Cartooning for peace, souligne également son courage : « Il a toujours travaillé à Damas. Faire des caricature du temps de Hafez el-Assad n’était pas du tout quelque chose de facile ». En 1990, les deux hommes avaient exposé leurs dessins ensemble à Tunis, lors d’une exposition sur la liberté d’expression organisée par Amnesty international.

Une renommée exploitée par le pouvoir

La renommée internationale de l’artiste, dès les années 80, n’a pas facilité la vie d’Ali Ferzat : « Le gouvernement profitait du fait que je sois publié à l’étranger pour dire qu’il tolérait une certaine liberté d’expression. Alors qu’il n’en était rien : j’ai toujours été surveillé ou même interdit de travailler dans les journaux ». Sa notoriété ne l’a pas non plus préservé de l’ire de certains dirigeants étrangers. En 1989, lors d’une rétrospective à l’Institut du monde arabe à Paris, l’ambassadeur irakien fait un scandale en découvrant l’un des dessins d’Ali Ferzat. Un homme moustachu se penche par la fenêtre d’une maison et demande à un affamé de faire moins de bruit pour ne pas gêner la somptueuse réception qui s’y déroule. La caricature a finalement dû être décrochée. Plantu se souvient : « Ce qui est incroyable, c’est que l’ambassadeur avait reconnu dans ce dessin Saddam Hussein alors qu’Ali Ferzat n’avait dessiné qu’un homme moustachu. Il aurait pu s’agir de n’importe quel pays arbitraire de la région... ». Et donc peut-être de la Syrie.

Son premier dessin publié à 12 ans

Sur le coin d’une table d’un café parisien, le dessinateur reproduit en deux coups de crayon la première caricature qu’il avait envoyée au quotidien syrien Al-Ayyam alors qu’il n’avait que 12 ans. Sur le dos d’une baleine nommée Algérie se tiennent le général de Gaulle qui s’enfuit et un pied-noir qui tente de le retenir. Le président français prévient : « Il faut partir, ce n’est pas une île », en référence au premier voyage de Sinbad dans « Les Mille et une nuits ». Dans le conte, après avoir accosté sur une île, le marin se rend compte qu’il s’agit en fait du dos d’une baleine et finit par payer son imprudence lorsque le cétacé s’enfonce dans la mer et l’entraîne dans les flots. Un présage du caricaturiste encore enfant sur les pieds-noirs qui souhaitaient rester en Algérie. Ali Ferzat s’amuse : « Le directeur de la publication d’Al-Ayyam m’avait appelé pour m’inviter à Damas, mais je n’y suis pas allé, j’étais trop petit ! [Ali Ferzat est originaire de Hama, ndlr] Il était étonné de voir que je n’étais pas plus âgé ».

« Le régime a créé ses propres artistes »

Le regard fixe de détermination, le caricaturiste explique qu’un « artiste ne doit pas avoir peur, doit dessiner, oser parler, critiquer. Défendre la liberté ». Ce credo, regrette-t-il, n’est pas respecté par bon nombre de ses confrères syriens. Car si depuis le début de la révolution, certains intellectuels et artistes se sont publiquement prononcé contre le régime, beaucoup se murent dans le silence : « Le régime a créé ses propres artistes, qu’il protège et avantage. Ils ne l’ont jamais critiqué. Pour eux, c’est trop tard, s’ils ne se sont pas déjà ralliés à l’opposition, je doute qu’ils nous rejoignent un jour ». Certains artistes ont ainsi pu ouvrir des sociétés et des galeries sans jamais être ennuyés par le pouvoir en place. Des attitudes qui hérissent Ferzat : « L’art doit servir la société, il ne doit pas être une stratégie pour maximiser ses intérêts ».

« Seule la nation syrienne compte »

La révolution, en bouleversant les cadres établis, a permis l’émergence d’un art nouveau, non-adossé au régime. Une résurrection déjà ébauchée avec le développement d’Internet : « J’ai commencé à publier mes dessins sur mon site après la fermeture d’Al-Domari. J’avais aussi ouvert une galerie à Damas où le public pouvait voir ceux qui n’étaient pas acceptés dans les journaux ». L’engagement d’Ali Ferzat pour la révolution ne s’est pas fait sans heurt dans la communauté artistique syrienne. Une partie a publié dans Tishreen, un journal gouvernemental, un texte le calomniant, arguant qu’en étant contre Bachar el-Assad, Ali Ferzat était contre la nation syrienne. Le dessinateur ne s’est pas laissé intimider. Droit sur sa chaise, l’air sérieux, il garantit ne pas porter la moindre attention à ces attaques personnelles. Pour lui, assure-t-il, seule la nation syrienne compte. Malgré les conséquences, se battre (avec un stylo) pour contribuer à rendre son futur meilleur reste à ses yeux une évidente priorité.

Article extait de Rue89.com ici
21 avril 2012

La tête à Sarko, the best of - par Charb - 2012

charb_la_tete_a_sarko Présentation de l'Editeur:

Tout petit déjà, il avait la tête de l'emploi. Aujourd'hui, il n'a pas vraiment grandi, mais ce n'est pas grave, il peut se faire tailler des costards sur mesure. Et l'habit fait le Président, le principe est simple : déshabiller les pauvres pour habiller les riches. En contre-partie, les pauvres peuvent toujours se payer sa tête, ça coûte pas cher et ça fait quand même du bien ! La preuve par Charb avec le meilleur du pire extrait du Dico Sarko et du Petit livre rouge de Sarko.

Disponible en librairie

15 avril 2012

La vie secrète de Marine Le Pen - par Chauzy et Caroline Fourest

chauzy_fourest_la_vie_secrete_de_marine_le_pen Présentation de l'Editeur:

À l'aube d'une élection présidentielle capitale, le cas Marine Le Pen divise : peut-on la considérer comme une candidate comme une autre ? N'est-elle qu'un visage plus jeune des idées de son père ou l'incarnation d'un nouveau nationalisme ? Qui est réellement cette femme qui fascine autant qu'elle révulse ? C'est à ces questions que Caroline Fourest a tenté de répondre en enquêtant sur sa vie : sa famille si singulière, sa jeunesse dans le sérail du FN, sa vie de château, les problèmes qu'ont pu lui causer son nom de famille, ses études d'avocate, son goût pour la fête, ses amitiés étonnantes, les coulisses de la conquête du parti jusqu'au passage de flambeau… Marine Le Pen, trop souvent perçue à travers l’image figée de commandeur taillée par son parti, n'aura plus aucun secret pour vous après la lecture de cette BD-enquête écrite par la journaliste Caroline Fourest (qui lui a consacré une récente biographie très complète publiée chez Grasset) et impitoyablement croquée par Jean-Christophe Chauzy.

Disponible en librairie

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15 avril 2012

La salle des profs - par Charb - 2012

charb_la_salle_des_profs Présentation de l'Editeur:

Le collège et lycée Laurent-Ruquier, quelque part dans une banlieue oubliée de tous...

Disponible en librairie

14 avril 2012

Peut-on encore rire de tout ? - par Cabu - 2012

cabu_peut_on_encore_rire_de_tout Présentation de l'Editeur:

Peut-on encore rire de tout ? Et pourra-t-on encore demain rire de tout ? Ces questions méritent d'être posées... Et c'est l'objectif de ce livre. Pas de limite à l'humour qui est au service de la liberté d'expression, car, là où l'humour s'arrête, bien souvent, la place est laissée à la censure ou à l'autocensure. Ni les religions et leurs intégristes, ni les idéologies et leurs militants, ni les bien-pensants et leurs préjugés ne doivent pouvoir entraver le droit à la caricature. fût-elle excessive.

Disponible en librairie

2 avril 2012

Plus jamais ça ! - par Willem - avril 2012

willem_plus_jamais__a_avril_2012 Présentation de l'Editeur:

Faisant suite aux quatre précédents ouvrages de Willem dans la collection Carrément, Plus jamais ça ! continue avec pugnacité de décortiquer l'actualité politique française. Ce recueil réunit une partie des publications quotidiennes de Willem dans Libération.
Vœux ? Présage ? Ordre ? Peu importe ce que le titre laisse entendre, le lecteur comprendra que Willem n'aime pas beaucoup Sarko et souhaite continuer à nous (lui) le faire entendre. C'est une sorte de bilan sans perspectives que dresse l'auteur à travers cette sélection. On retrouvera tous les temps forts de l'ère Sarkozy : les remaniements de gouvernement, la loi sur la burqa, les retraites, la rigueur. Des chapitres sur Marine Le Pen, le sauvetage des banques ou l'affaire DSK, des thèmes en plein dans l'actualité.

Disponible en librairie

1 avril 2012

10 raisons de ne pas voter Sarkozy - Collectif Charlie Hebdo - mars 2012

10_raisons_mars_2012 Présentation de l'Editeur:

L'élection approche, l'occasion tant attendue pour se débarrasser de Sarkozy ! Mais alors que les éternelles divisions de la gauche refont surface, qu'Eva Joly tape sur Hollande alors que son parti préfère s'opposer à Mélenchon pendant que le NPA fait cavalier seul sur les terres de Lutte Ouvrière, Charlie prend le parti de réunir tout ce beau monde dans la même direction: contre Sarkozy. En listant, en dessins, 10 raisons de ne pas voter UMP aux prochaines élections, Charlie a demandé aux ténors de la gauche de se pencher sur le bilan de la droite au gouvernement depuis 5 ans. Un texte argumenté ouvrira chaque chapitre, illustré par les dessinateurs de Charlie. Economie, écologie, culture, éducation, laïcité, emploi, féminisme, immigration, santé: 10 raisons de ne pas voter Sarkozy sera le livre à mettre dans toutes les mains pour changer la France en 2012. Les contributions aux 10 raisons de ne pas voter Sarkozy réuniront des acteurs du PS, d'Europe Ecologie Les Verts, du Front de gauche, de Lutte Ouvrière et du NPA, ainsi que les dessinateurs de Charlie Hebdo, Cabu, Wolinski, Charb, Luz, Riss, Jul, Tignous, Willem, Honoré...

Disponible en librairie ou ici

14 mars 2012

Sarkozy, tu nous manques déjà ! - par Cabu, Cardon, Delambre, Kerleroux, Pancho, Wozniak

couv_livre_scorbut_000312 Présentation :

Le livre sera divisé en quatre ou cinq parties, précédées d’un court texte anonyme de journalistes du Canard, sur les thèmes : Bling-Bling, Sarko et les femmes, Sarko au kärcher, Sarko et l’environnement (et le nucléaire), Sarko et l’immigration, Sarko et DSK...

Disponible en librairie

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